L'ancien Premier ministre tchadien, Fidèle Moungar, s'est déclaré indigné par la volonté de la France de vouloir juger ses ressortissants sur son sol au lieu du territoire tchadien où ils sont détenus dans le cadre de la tentative d'enlèvement d'enfants, dite affaire de "l'Arche de Zoé". Le ton est monté d'un cran entre N'Djamena et Paris, après la déclaration, mardi, du président Sarkozy qu'il irait "chercher tous ceux qui restent, quoi qu'ils aient fait", au Tchad, où sont incarcérés pour "...lire la suite
L'ancien Premier ministre tchadien, Fidèle Moungar, s'est déclaré indigné par la volonté de la France de vouloir juger ses ressortissants sur son sol au lieu du territoire tchadien où ils sont détenus dans le cadre de la tentative d'enlèvement d'enfants, dite affaire de "l'Arche de Zoé". Le ton est monté d'un cran entre N'Djamena et Paris, après la déclaration, mardi, du président Sarkozy qu'il irait "chercher tous ceux qui restent, quoi qu'ils aient fait", au Tchad, où sont incarcérés pour "enlèvements de mineurs" six Français de l'association "Arche de Zoé".