L’offensive rebelle menée à la mi-novembre dans l’est du Tchad avait forcé les agences humanitaires basées dans cette région à évacuer une partie de leur personnel. Les hostilités se sont calmées, mais les activités humanitaires restent réduites en raison de la persistance des vols de véhicules et des attaques armées. En novembre dernier, des rebelles avaient lancé une attaque contre Abéché, ville à partir de laquelle les agences onusiennes et les organisations non gouvernementales (ONG) coor...lire la suite
L’offensive rebelle menée à la mi-novembre dans l’est du Tchad avait forcé les agences humanitaires basées dans cette région à évacuer une partie de leur personnel. Les hostilités se sont calmées, mais les activités humanitaires restent réduites en raison de la persistance des vols de véhicules et des attaques armées. En novembre dernier, des rebelles avaient lancé une attaque contre Abéché, ville à partir de laquelle les agences onusiennes et les organisations non gouvernementales (ONG) coordonnent les opérations destinées aux quelque 330 000 réfugiés soudanais et tchadiens.