La justice a maintenu en prison Olisa Metuh, le porte-parole du Parti démocratique populaire (Pdp) de l'ancien président Goodluck Jonathan, accusé d'avoir perçu frauduleusement près de 2 millions de dollars. Selon Commission des crimes économiques et financiers, le porte-parole et sa société auraient reçu, sous l'administration Jonathan, 400 millions de nairas (1,99 million de dollars, 1,83 million d'euros) du bureau du Conseiller à la sécurité nationale, principal accusé dans cette affaire d...lire la suite

Si les autorités nigérianes assurent avoir réussi à maîtriser l'épidémie de fièvre Lassa, qui a fait 44 morts jusqu'ici, certains se demandent si les risques d'une contamination à plus grande échelle est réellement écarté dans le pays le plus peuplé d'Afrique. Plusieurs experts s'inquiètent de nouvelles contaminations possibles avec les fêtes de fin d'année, moment où les Nigérians ont voyagé d'un bout à l'autre du pays, pour rendre visite à leur famille, à bord de bus bondés.

A l’approche des élections présidentielles nigériennes, les tensions entre l’opposition et le pouvoir central se font de plus en plus sentir, le maintien en prison du candidat Hama Amadou risquant d’envenimer la situation. M. Amadou, qui est actuellement détenu dans une prison nigérienne tout en restant candidat à la présidentiel de février prochain, a vu sa demande de libération provisoire refusée par la Cour d’Appel de Niamey. Un refus qui a fait monter de plusieurs crans les tensions entre...lire la suite

Des dizaines de réfugiés namibiens qui devaient rentrer dans leur pays au plus tard le 30 décembre 2015, ont fait part de leur crainte d’être torturés par les autorités namibiennes à leur retour au pays. Selon des documents judiciaires, l'un d'entre eux, Felix Kakula, a accusé le gouvernement namibien d'être ce qu'il a appelé «un transgresseur connu» de ses obligations en vertu de la Convention sur les réfugiés, une Convention des Nations Unies contre la torture et autres traitements cruels, ...lire la suite

Le président mauritanien, Mohamed Ould Abel Aziz, "s’est engagé devant des chancelleries occidentales, dont celle de la France, à ne pas violer la constitution". Réinvesti le 2 août 2014, Mohamed Ould Abel Aziz s’est engagé de quitter le pouvoir à la fin de son second et dernier mandant qui expire en juillet 2019. Les articles 26 et 28 de la Constitution mauritanienne fixent le mandat du président à «cinq ans» et précise qu’il est «rééligible une seule fois». Des dernières déclarations du pré...lire la suite

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