Du miel pour adoucir le conflit au Soudan du Sud ? C’est le défi que s’est lancé Honey Care Africa, une entreprise basée à Nairobi qui a investi près d’un million de dollars (920 millions d’euros) dans le pays depuis 2013 afin de soutenir les apiculteurs, aidant un millier d’entre eux à exporter leur production vers le Kenya. Le pari est osé : depuis décembre 2013, le Soudan du Sud est plongé dans la guerre civile qui a déjà fait 50 000 morts et provoqué le déplacement de plus de 2 millions d...lire la suite

Un premier prélèvement effectué sur une étudiante décédée récemment dans le nord de la Sierra Leone avait été testé positif au virus Ebola par les autorités sanitaires de Sierra Leone. Triste coïncidence : l'Oms avait annoncé le même jour l'arrêt de "toutes les chaînes connues de transmission" de l'épidémie d'Ebola dans l'ensemble de la région de l'Afrique de l'Ouest. Mais l'institution a mis en garde contre le "risque permanent de nouvelles flambées durant 2016 en raison de la persistance du...lire la suite

En novembre dernier, la publication d’un rapport du Fmi classant le Sénégal parmi les 25 pays les plus pauvres de la planète avait froissé les autorités. Le président Macky Sall avait déclaré : «Dire que l’on est parmi les 25 pays les plus pauvres du monde, c’est absurde». L’Agence nationale de la statistique et de la démographie appuyée par la Banque mondiale vient de publier un rapport préliminaire intitulé «A l’écoute du Sénégal de 2014». Un rapport subjectif car établi sur la perception d...lire la suite

Le samedi 16 janvier dernier a marqué les 15 ans de la mort de Laurent-Désiré Kabila, arrivé au pouvoir en 1997 en renversant Mobutu. Après quatre ans à la tête du pays, il est tué à Kinshasa par un kadogo, «encore petit» en swahili, ces jeunes soldats qui l'avaient aidé à conquérir le pouvoir. Suite à son assassinat, des dizaines de personnes ont été arrêtées, inculpées et condamnées. Certaines sont décédées en détention, d’autres sont encore en prison aujourd’hui. Quinze ans après, retour s...lire la suite

Le Nigéria est souvent pris en exemple lorsqu’il s’agit de parler de l’impact de la cybercriminalité en Afrique. Si l’on en croit les mots du ministre nigérian des Communications, Adebayo Shittu, le statut de «zone à risque» n’a pas été volé par le pays du président Buhari. En effet, le Nigeria perdrait annuellement environ 78 milliards de nairas (soit environ 400 millions de dollars) à cause de la cybercriminalité.

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