Le Congo va disposer désormais d'une nouvelle loi électorale. Proposée par le gouvernement, elle a été adoptée le jeudi 14 janvier par l'Assemblée nationale. Elle apporte des innovations en instituant une Commission électorale indépendante chargée d'organiser notamment la présidentielle du 20 mars. Mais, cette commission n'est pas du tout du goût de l'opposition.

A Moroni, la candidature de l’ancien président comorien Ahmed Abdallah Sambi à l’élection présidentielle du 21 février 2016 a été invalidée le 2 janvier par la Cour constitutionnelle, qui a confirmé 25 des 28 candidats. Tous sont originaires de l'île de la Grande Comores, selon la règle instaurée en 2001 d'une présidence tournante entre les trois îles de l'Union des Comores - Anjouan, Grande Comore et Mohéli - qui compte au total 800 000 habitants. Originaire d'Anjouan, Sambi a présidé l’Arch...lire la suite

Le Premier ministre béninois Lionel Zinsou est, depuis fin novembre 2015, le candidat unique du parti au pouvoir, les Forces cauris pour un Bénin émergent, pour la présidentielle dont le premier tour est prévu le 28 février. Mardi 12 janvier, il a créé la surprise en ralliant à sa cause deux partis d’opposition, le Parti du renouveau démocratique du président de l’Assemblée nationale, Adrien Houngbédji, et la Renaissance du Bénin de l’ancien président Nicéphore Soglo. Ces deux partis n’ont, p...lire la suite

Ils seront nombreux sur la ligne de départ pour la présidentielle béninoise du 28 février. Pas moins de 48 candidats ont été acceptés par la Commission électorale nationale autonome (Cena), qui a fermé ses portes mardi 12 janvier à minuit. Une liste sur laquelle figurent les ténors de l’élection présidentielle, qui s’annonce explosive. Parmi eux, le Premier ministre Lionel Zinsou et candidat des Fcbe (coalition au pouvoir) ou encore les hommes d’affaires Patrice Talon et Sébastien Ajavon. L’a...lire la suite

Le procès de 17 opposants accusés de rébellion et de tentative de coup d'Etat en Angola, qui devait se terminer le 7 janvier, a été ajourné au 25 janvier. Plus de cinquante témoins sont encore attendus à la barre d'ici la fin du procès. Mais seulement deux se sont présentés. Les 17 militants, accusés sont membres du Mouvement révolutionnaire de l'Angola, qui demande le départ du président Dos Santos, au pouvoir depuis 1979. Tous risquent entre trois et douze ans de prison.

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