Cinq ans après la révolte qui le chassa du pouvoir, l'ex-président égyptien Hosni Moubarak vit dans une suite d'un hôpital militaire, son clan est quasiment réhabilité dans l'opinion. Le "Raïs", maître absolu de l'Egypte durant trois décennies, a quitté le pouvoir le 11 février 2011, après 18 jours d'un mouvement populaire motivé essentiellement par le ras-le-bol des violences policières et d'une corruption endémique qui minait le développement du plus peuplé des pays arabes.?Mais cinq ans ap...lire la suite

Le général Jean-Marie Michel Mokoko a annoncé sa candidature au scrutin présidentiel du 20 mars au Congo. Cet ancien chef d'état-major de l'armée congolaise a-t-il les moyens de l'emporter face au président sortant Denis Sassou Nguesso ? Si le divorce entre l’officier congolais et le chef de l’État est désormais acté par cette candidature, ses causes sont, pour la plupart, à chercher dans le passé. A l’instar de la prise de position, en juillet 2015, du général Jean-Marie Michel Mokoko contre...lire la suite

A quelques jours du démarrage officiel de la campagne pour la présidentielle 2016, la population béninoise est très inquiète du fait de certaines informations alarmantes au sujet de la distribution des cartes d’électeurs et du report ou non du scrutin. Les Béninois attendent des réponses à deux grandes préoccupations. Tous les électeurs, pourront-ils avoir à temps et à leur disposition, leur carte pour aller voter le 28 février prochain ? Est-ce vrai que le Bénin est actuellement confronté à ...lire la suite

Des ministres du gouvernement algérien font leurs cartons. Conjoncture économique oblige, le pouvoir doit affronter une situation pour le moins difficile et certainement compliquée. Après l'adoption de la nouvelle Constitution qui, dit-on, ouvre des perspectives intéressantes à tout point de vue, l'Etat entend donner un coup d'accélérateur pour gérer les trois prochaines années qui s'annoncent compliquées. Cela passera par un large remaniement gouvernemental qui devrait intervenir avant la fi...lire la suite

Les deux principaux partis d'opposition sud-africains ont manifesté à Johannesburg devant la Cour constitutionnelle où leurs avocats plaidaient pour obliger le président Jacob Zuma à rembourser une partie des 20 millions d'euros d'argent public dépensé pour rénover sa résidence privée de Nkandla. Des milliers de membres du parti de gauche radicale Eff (Combattants de la liberté économique) étaient dans la rue aux cris de "Zuma doit partir" et "Rends l'argent ! Rends l'argent !", un slogan qui...lire la suite

Pages