Republic of Congo

Diffusée samedi 13 février par des médias en ligne proches du pouvoir, au moment où le général Jean-Marie Michel Mokoko venait d'officialiser devant ses partisans sa candidature à la présidentielle du 20 mars, la vidéo a fait grand bruit à Brazzaville. Les images ont été tournées en 2007. On y découvre le candidat à la présidentielle en train de discuter de la préparation d'un coup d'Etat contre le président congolais avec des hommes se présentant comme des agents français proches de la Dgse....lire la suite

Le général Jean-Marie Michel Mokoko a annoncé sa candidature au scrutin présidentiel du 20 mars au Congo. Cet ancien chef d'état-major de l'armée congolaise a-t-il les moyens de l'emporter face au président sortant Denis Sassou Nguesso ? Si le divorce entre l’officier congolais et le chef de l’État est désormais acté par cette candidature, ses causes sont, pour la plupart, à chercher dans le passé. A l’instar de la prise de position, en juillet 2015, du général Jean-Marie Michel Mokoko contre...lire la suite

Ce n’est pas vraiment une surprise. Le président congolais, Denis Sassou-Nguesso, qui cumule déjà plus de trente années au pouvoir, a été investi, lundi 25 janvier, candidat de son parti à l’élection présidentielle du 20 mars. La nouvelle Constitution, adoptée par référendum à l’automne, lui permet en effet de se représenter pour trois nouveaux mandats de cinq ans. A la tête du parti unique de 1979 à 1992, revenu aux affaires par les armes en 1997 avec l’appui de la France et de l’Angola, le ...lire la suite

MA

Le commentaire est le plus neutre possible. Il cherche à ne pas soutenir trop ouvertement le dictateur congolais sans pour autant contrarier les intérêts économiques et géostratégiques de la France. Mais il ne peut cacher une réalité : la France forme et équipe l’armée congolaise qui, depuis une semaine, a fait régner une ambiance de terreur dans les grandes villes du pays.

L'internet mobile, les services de minimessages et le signal de la radio française Rfi restaient coupés mercredi 21 octobre à Brazzaville, où la situation était calme au lendemain de violences meurtrières au Congo entre force de l'ordre et opposants au référendum constitutionnel du dimanche 25 octobre.?Il était toujours impossible à 8h30 locales d'envoyer un texto, d'accéder à internet à partir de son téléphone portable ou de capter Rfi, une des stations les plus écoutées du pays, sur sa fréq...lire la suite

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