Avant Maputo, Addis-Abéba, Prétoria… en passant par Antananarivo et autres capitales passées (ou à venir), on pouvait dire : « Faites vos jeux ! ».
Mais depuis Prétoria 1, qui supposerait un Prétoria 2 dans 15 jours (et pourquoi pas dans six mois ou un an ; car la crise devait être résolue depuis le 9 août 2009, donc neuf mois sont passés sans qu’aucune solution ait été trouvée), on doit dire : « On ne joue plus ! » ; car l’heure est grave, trop grave et l’échec retentissant, écrit Rabe...lire la suite
Avant Maputo, Addis-Abéba, Prétoria… en passant par Antananarivo et autres capitales passées (ou à venir), on pouvait dire : « Faites vos jeux ! ».
Mais depuis Prétoria 1, qui supposerait un Prétoria 2 dans 15 jours (et pourquoi pas dans six mois ou un an ; car la crise devait être résolue depuis le 9 août 2009, donc neuf mois sont passés sans qu’aucune solution ait été trouvée), on doit dire : « On ne joue plus ! » ; car l’heure est grave, trop grave et l’échec retentissant, écrit Rabemahoro Jacques