Tunisia

Toujours en colère contre la chaîne privée Nesma TV, plusieurs milliers d’islamistes présumés ont manifesté le 14 octobre dans plusieurs endroits de Tunis. Puis une centaine d'hommes ont attaqué le domicile du PDG de la chaîne, en banlieue de Tunis. Il n'y aurait pas de victimes. Les excuses du président de privée Nessma TV, Nabil Karoui, n’ont pas calmé les ardeurs des islamistes tunisiens présumés. Plusieurs milliers de personnes, essentiellement des salafistes, protestaient contre la diffu...lire la suite

Depuis la révolution tunisienne de janvier 2011, 11% estiment que la corruption s’est aggravé. Dans l’échelle des secteurs les plus gangrénés, les sondés ont mis en tête la police (71,9%), viennent ensuite les partis politiques (70%), la douane (57,2%) et le gouvernement de transition (56,8%). Le système juridique représenté par les avocats occupe la 5e place, et les juges la 6e place du classement. Concernant l’actuel gouvernement transitoire, 56,7% des répondants pensent qu’il ne dispose pa...lire la suite

Cela fait quinze ans que les laboratoires Roche testent un nouveau produit médical, ayant pour but de faire face aux cancers, en stabilisant les cellules cancéreuses à un stade primaire de la maladie. Ce traitement s'annonce, ainsi, comme un palliatif à la chimiothérapie, utilisable en cas de cancer dépisté à un stade précoce et sur une période de deux ans. Ce produit innovant a de fortes chances d'être fabriqué en Tunisie.

Interdit dans les administrations, les universités ou encore les écoles, le hijab était considéré comme un "habit sectaire" par Zine el Abidine Ben Ali, ex-président de la Tunisie, qui voulait pour son pays un islam "modéré". Finies les arrestations de femmes voilées dans les rues, forcées de retirer leur hijab avant de s’engager par écrit de ne plus le porter. Le gouvernement de transition a permis aux femmes voilées de garder leur hijab pour leurs photos dédiées aux cartes d’identités, prat...lire la suite

Depuis le 1er septembre, les candidats à l'élection de l'Assemblée constituante prévue le 23 octobre peuvent déposer leurs listes. L'occasion de présenter les grandes lignes d'un paysage politique profondément renouvelé depuis la fin du pouvoir du RCD, le parti-Etat dissout le 9 mars. Au monopole, succède une offre politique abondante. Du moins en quantité puisque à ce jour pas moins de 105 partis ont été autorisés. Une douzaine néanmoins constituent l'essentiel du tableau.

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