oct 03, 2011
Depuis la révolution tunisienne de janvier 2011, 11% estiment que la corruption s’est aggravé. Dans l’échelle des secteurs les plus gangrénés, les sondés ont mis en tête la police (71,9%), viennent ensuite les partis politiques (70%), la douane (57,2%) et le gouvernement de transition (56,8%). Le système juridique représenté par les avocats occupe la 5e place, et les juges la 6e place du classement. Concernant l’actuel gouvernement transitoire, 56,7% des répondants pensent qu’il ne dispose pas d’une véritable politique de lutte anticorruption. Pour les Tunisiens, l’armée serait le secteur le moins touché (8,9%).
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