Mali

La police kényane a ouvert une enquête après la diffusion de photos montrant des policiers qui fouettent un groupe de jeunes Somaliens au bord de la route près de Garissa. Cette scène de brutalité policière, partagée sur Facebook, aurait été photographiée dans le comté de Garissa, dans le nord-est du pays. Cette région est le théâtre de nombreux affrontements entre policiers et islamistes Shebab, surtout depuis l'attaque de l'Université de Garissa qui a fait près de 150 morts le 2 avril derni...lire la suite

La Somalie a critiqué le Kenya pour avoir décidé de construire une clôture le long de leur frontière commune, dans le but d’empêcher les attaques des militants islamistes Shebab. Le ministre somalien de la Sécurité a exhorté Nairobi d’abandonner le projet. Selon lui, la construction du mur ne pourrait pas arrêter les attaques menées par les islamistes, parce qu’estime-t-il, la plupart d’entre eux sont déjà au Kenya. Les travaux ont déjà commencé dans la ville côtière de Mombasa. Les Shebabs r...lire la suite

Dans la ferveur, le centenaire de Modibo Kéita mobilise le Mali, mais des zones d’ombre qui entourent son héritage méritent d’être éclairées. Que reste-il d’ailleurs de son riche héritage ? Réponses…

En Algérie, la Coordination des mouvements de l’Azawad a annoncé jeudi 4 juin qu’elle signerait l’accord de paix inter-malien le 20 juin prochain. Si cette annonce suscite des espoirs au sein de la communauté internationale, il reste encore des obstacles. La première difficulté pourrait bien survenir à Ménaka. Jeudi 4 juin, alors que le gouvernement et la CMA signaient un accord de cessation des hostilités prévoyant que les mouvements armés se retirent de la ville et qu’elle passe sous le con...lire la suite

Le ministre français des Finances Michel Sapin a informé le président malien Ibrahim Boubacar Keïta de l'annulation de 43 milliards de francs CFA, soit 65 millions d'euros, de la dette du Mali, ont affirmé vendredi 10 avril, les deux parties. Paris détenait cette créance auprès de Bamako depuis 1984, une "dette monétaire" d'un montant initial de 229 millions d'euros qui faisait suite à la réintégration du pays dans l'Union économique et monétaire ouest africaine.

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