Pour que la population au Burkina Faso puisse s’exprimer librement, il faut que l’impérialisme cesse tout soutien aux divers clans de l’oligarchie qui domine le pays.
Cet énième coup d’Etat militaire qui, du reste, contient les germes d’une guerre civile réactionnaire, est un véritable recul démocratique et une remise en cause des acquis de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2015.
Les Burkinabè ne s’opposent pas seulement au pouvoir personnel, qu’il soit militaire ou civile, ils souhaitent également voir s’établir au Burkina Faso, une société de justice, d’équité, de reddition des comptes et de paix.