Le 21 mars 2009, Kwame Nkrumah aurait eu 100 ans. La mort l’a frappé le 27 avril 1972 à Bucarest (Roumanie), dans la solitude de l’exil. Six ans plus tôt, le 24 février 1966, un coup d’Etat l’avait destitué. Le reste de sa vie, il le vécut en Guinée. Ce centenaire, l’Afrique le vit en étant toujours à la poursuite de ce rêve qui fut au cœur de la réflexion et de l’action politique de Nkrumah. Son idéal de panafricanisme reste un défi, une espérance. Au regard de ce qu’il représentait et voul...lire la suite
Le 21 mars 2009, Kwame Nkrumah aurait eu 100 ans. La mort l’a frappé le 27 avril 1972 à Bucarest (Roumanie), dans la solitude de l’exil. Six ans plus tôt, le 24 février 1966, un coup d’Etat l’avait destitué. Le reste de sa vie, il le vécut en Guinée. Ce centenaire, l’Afrique le vit en étant toujours à la poursuite de ce rêve qui fut au cœur de la réflexion et de l’action politique de Nkrumah. Son idéal de panafricanisme reste un défi, une espérance. Au regard de ce qu’il représentait et voulait réaliser, de ce nouvel ordre qu’il désirait pour l’Afrique, Ama Biney en arrive à tracer des similitudes entre lui et Obama, dans la recherche de la justice pour la genre humain. Elle projette aussi le regard de Nkrumah sur le monde actuel, si ce dernier avait vécu pour atteindre ses cent ans.