Amnesty International et l'Acat Burundi (Action des Chrétiens pour l'abolition de la torture) ont demandé, le mardi 9 octobre 2007, au gouvernement du Burundi, de prendre sans délai des mesures visant à protéger les femmes, les jeunes filles et les fillettes contre le viol et les autres violences sexuelles. Ces derniers sont tres eleves et 60%des viols signalés concernent des mineurs.