Le représentant du gouvernement burundais au Mécanisme de vérification et de suivi (MCVS) d'un accord de cessez-le-feu, a signifié, le 7 juillet, au Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL) qu'il devra, coûte que coûte, changer d'appellation pour recevoir l'agrément en tant que parti politique. Dans ce bras de fer, le pouvoir de Bujumbura a pour alliée de taille la Constitution qui n'autorise, en aucune façon, la reconnaissance de partis politiques...lire la suite
Le représentant du gouvernement burundais au Mécanisme de vérification et de suivi (MCVS) d'un accord de cessez-le-feu, a signifié, le 7 juillet, au Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL) qu'il devra, coûte que coûte, changer d'appellation pour recevoir l'agrément en tant que parti politique. Dans ce bras de fer, le pouvoir de Bujumbura a pour alliée de taille la Constitution qui n'autorise, en aucune façon, la reconnaissance de partis politiques à connotation ethnique, religieuse ou régionale.