Après un précédent ultimatum au mois de juillet, le gouvernement du Zimbabwe vient de lancer un nouvel avertissement à treize sociétés étrangères. Il leur demande de céder la majorité de leurs parts à des Zimbabwéens noirs, sous peine d’être expulsées. Ainsi, un ultimatum expirant dans deux semaines a été lancé à la Barclays Bank, à des compagnies minières ou encore à Nestlé ou British American Tobacco. Si cette loi est défendue par le président Robert Mugabe, elle est contestée depuis sa pro...lire la suite
Après un précédent ultimatum au mois de juillet, le gouvernement du Zimbabwe vient de lancer un nouvel avertissement à treize sociétés étrangères. Il leur demande de céder la majorité de leurs parts à des Zimbabwéens noirs, sous peine d’être expulsées. Ainsi, un ultimatum expirant dans deux semaines a été lancé à la Barclays Bank, à des compagnies minières ou encore à Nestlé ou British American Tobacco. Si cette loi est défendue par le président Robert Mugabe, elle est contestée depuis sa promulgation par son opposant, le Premier Ministre Morgan Tsvangirai. En revanche, son opposant, le premier ministre, Tsvangirai, a toujours contesté cette loi. Il redoute qu'elle décourage les investissements directs étrangers.