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Le gouvernement zimbabwéen a lancé un ultimatum à treize sociétés étrangères, leur demandant de céder la majorité de leurs parts à des intérêts locaux, sous peine de saisie, rapporte le quotidien d'Etat The Herald du 20 août. Un ultimatum expirant dans deux semaines a été lancé à la Barclays Bank, la Standard Chartered, à six compagnies minières et à cinq autres firmes. Nestlé et British American Tobacco figurent sur cette liste. Si les sociétés (visées par l'ultimatum) ne se mettent pas en conformité avec leurs obligations, le ministère est autorisé par la loi sur l'indigénisation à ouvrir une procédure pour faire annuler leurs licences.