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La révolution en Tunisie, la guerre qui a entrainé la chute et l’assassinat de Khadafi n’ont pas été que sources de bouleversements politiques. L’embellie arabe a aussi sonné le cauchemar des migrants, notamment africains. Avec l’affaiblissement de l’Union africaine dans cette zone, notamment en Libye, les pays européens ont profité de la situation pour trouver des bras armés encore plus serviles dans l’externalisation de leurs politiques anti-immigration. C’est là une des conséquences du «pr...lire la suite

Certaines régions de l’Ethiopie sont encore sous le choc des effets de la sécheresse, d’inondations ou d’un conflit récents, voire une combinaison des trois ; cette situation s’est traduite, selon certains responsables, par une augmentation du nombre d’enfants qui abandonnent leurs études. Au moins 385 000 enfants d’âge scolaire ont besoin « cette année d’une assistance éducative d’urgence », selon la directrice de la communication de l’UNICEF en Ethiopie.

Cette semaine nous voulions partager l’info sur la Fondation Sommet Mondial des Femmes (WWSF) et leur Prix pour la créativité des femmes en milieu rural. Le Prix insiste sur les éléments du courage et une persévérance exceptionnelle, l’innovation de la démarche, l’effort fait pour préserver et respecter l’environnement, et l’impact durable sur la communauté. Des femmes et des organisations de femmes actuellement actives dans le milieu rural et dont les efforts n’ont pas encore été récompensés...lire la suite

Le président bissau-guinéen Malam Bacaï Sanha est mort le 9 janvier 2012 à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris à l'âge de 64 ans. Il avait été admis dans cet hôpital militaire juste avant Noël. On le savait malade depuis longtemps sans jamais connaître la nature exacte du mal dont il souffrait. En cas de décès du président, la Constitution bissau-guinéenne prévoit que le président du Parlement prenne le pouvoir par intérim pour organiser, dans les 60 jours, une élection présidentielle. Cette an...lire la suite

L’essentiel pour les écrivains africains ne consiste pas à écrire forcément dans une langue africaine, mais le tout de cette question réside dans la nécessité d’apprendre aux Africains à lire leurs langues maternelles, défend le Congolais Alain Mabanckou qui devrait publier en janvier prochain un essai intitulé ‘’Le sanglot de l’homme noir’’. Cet enseignant au Etats-Unis, cite l’écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop qui, après des publications en français qui ont fait de lui un auteur sénég...lire la suite

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