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L’essentiel pour les écrivains africains ne consiste pas à écrire forcément dans une langue africaine, mais le tout de cette question réside dans la nécessité d’apprendre aux Africains à lire leurs langues maternelles, défend le Congolais Alain Mabanckou qui devrait publier en janvier prochain un essai intitulé ‘’Le sanglot de l’homme noir’’. Cet enseignant au Etats-Unis, cite l’écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop qui, après des publications en français qui ont fait de lui un auteur sénégalais réputé, s’est engagé dans l’écriture en wolof.