Les autorités de transition, la Minusca, et les partenaires internationaux de la Centrafrique, dont la France, doivent tout faire pour éviter que la République centrafricaine ne retombe dans le chaos. Les événements récents doivent également pousser les autorités de transition à définir de toute urgence un calendrier réaliste qui puisse permettre de sécuriser le processus électoral et d’organiser des élections transparentes et libres, garantissant la participation pleine et entière du peuple ...lire la suite