L’ancien chef du renseignement ougandais, devenu un critique virulent du président Yoweri Museveni, s’est vu refuser une demande de mise en liberté sous caution et assistera au scrutin présidentiel du 18 février derrière les barreaux. Le général David Sejusa, 61 ans, poursuivi pour s’être livré à des activités politiques, en contradiction avec les règlements de l’armée, a une nouvelle fois contesté ces accusations lors d’une audience devant un tribunal militaire placé sous haute surveillance....lire la suite
L’ancien chef du renseignement ougandais, devenu un critique virulent du président Yoweri Museveni, s’est vu refuser une demande de mise en liberté sous caution et assistera au scrutin présidentiel du 18 février derrière les barreaux. Le général David Sejusa, 61 ans, poursuivi pour s’être livré à des activités politiques, en contradiction avec les règlements de l’armée, a une nouvelle fois contesté ces accusations lors d’une audience devant un tribunal militaire placé sous haute surveillance. Le général Levi Karuhanga, a justifié sa décision par le risque de fuite à l’étranger du prévenu. Une nouvelle audience a été fixée au 23 février.