fév 15, 2016
En ce début de 2016, un «vent de sable» d’ordre à la fois politique, économique et personnel empêche Mohamed Ould Abdelaziz d’y voir clair et de déployer ses projets d’avenir. Le décès à l’âge de 24 ans de son fils préféré, Ahmedou, l’impossible dialogue avec son opposition, la brève mais spectaculaire évasion d’un terroriste condamné à mort et l’effondrement des recettes minières contrecarrent la dynamique que le président avait impulsée. Dans ce régime ultra personnalisé, son long silence semble trahir un réel désarroi.
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