Gabon

Avec la maladie du président Bongo et sa retraite momentanées des affaires, l’hypothèse de la succession prochaine se pose. Parmi les candidatures avancées figure celle d’Ali Bongo Ondimba, son fils. C'est au milieu des années 90 qu'il entre dans les allées du pouvoir, avant de se constituer un solide réseau. En 1989, il entre au gouvernement en qualité de ministre des Affaires étrangères. Mais la nouvelle Constitution datant de juin 1991 précise que les membres du gouvernement devront être â...lire la suite

Le président gabonais Omar Bongo Ondimba, 73 ans, a été hospitalisé dans une clinique privée de Barcelone (Espagne) dans un état jugé sérieux. Le doyen des chefs d'Etats africains, au pouvoir depuis 41 ans, qui souffre d'un cancer intestinal, aurait été victime d'une hémorragie lors de son transfert par avion en Espagne. Il est accompagné à Barcelone de membres de son entourage, dont sa fille, Pascaline Bongo. Un journal espagnol souligne qu'Omar Bongo souffre d'une «grave tumeur» sans autre ...lire la suite

Dans un communiqué lu le 6 mai à la télévision nationale, Omar Bongo Ondimba a annoncé la suspension momentanée de ses activités. A 74 ans, le doyen des chefs d’Etat, durement frappé par le récent décès de son épouse, feue Edith Bongo, s’arrêterait pour effectuer son veuvage comme le veut la tradition gabonaise et pour se ressourcer. Le vice-président de la République, devrait présider le prochain Conseil des ministres.

L’homme d’affaire gabonais, Félix Bongo, interpellé le 31 mars dernier en région parisienne et écroué sur place en raison d’un mandat d’arrêt international lancé par son pays, a été relâché jeudi 23 avril par la cour d’appel de Versailles. Il est accusé de malversations financières par la justice gabonaise dans l’achat de treize fourgons blindés commandés en 2006 par le Trésor Public gabonais, à travers sa compagnie ING Consulting qui avait remporté le marché selon une procédure de gré à gré.

Les femmes des départements de la province de l’Estuaire (où est située Libreville), frappées de plein fouet par la pauvreté et la cherté de la vie, ont décidé pour la plupart de se lancer dans les activités commerciales et agricoles. Face à la conjoncture économique actuelle et devant la flambée vertigineuse des prix des produits de base, ces femmes n’ont qu’une alternative : valoriser les terres de leurs ancêtres.

Pages