Gabon

En raison de la grève nationale des travailleurs de la santé au Gabon, qui dure depuis trois mois, les hôpitaux publics renvoient chez eux des personnes gravement malades. Le principal syndicat de travailleurs de la santé, le SYNAPS, a prévenu que le service minimum serait aussi suspendu fin avril si leurs revendications de longue date concernant les salaires et les conditions de travail n'étaient pas satisfaites. Les professionnels de la santé sont en grève au Gabon depuis le 12 janvier, à l...lire la suite

Les membres du syndicat national des personnels de santé (Synaps) du Gabon sont revenus le 3 avril sur le front social, menaçant de suspendre à nouveau le service minimum dans les hôpitaux du pays, à partir de la fin du mois d’avril. Ils réclament la prime de servitude promise par le gouvernement. Ils avaient lancé un mouvement de grève le 12 janvier dernier, qu’ils avaient suspendu le 14 mars. «Nous faisons encore confiance à ce gouvernement jusqu’au 25 du mois d’avril. Si jusqu’à cette péri...lire la suite

Les chercheurs du Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF), en collaboration avec l’Institut de recherche et de développement français (IRD), viennent de découvrir le réservoir commun du Chikungunya et de la Dengue. Ces recherches ont été menées sur la base des prélèvements réalisés au Gabon en 2007 lors de la double épidémie de ces deux virus, premier phénomène de ce type survenu en Afrique. Ils ont permis de découvrir que le «moustique tigre» était capable de tran...lire la suite

Le dernier rapport sur la liberté économique produit par The Heritage Foundation et le Wall Street Journal place le Gabon à la 1ère place de la sous-région d’Afrique centrale, pour le 24e rang africain et le 118e rang mondial sur 180 pays classés. Ce nouveau rapport fait gagner quatre places au Gabon et salue les efforts entrepris pour améliorer la liberté des entreprises et du commerce, mais note toutefois un bémol pour la persistance des entraves administratives et de la corruption.

Les autorités de Libreville, prévenues des risques d’une attaque armée en provenance de l’étranger, ont mobilisé les forces de défense nationale à Libreville ainsi qu’à l’intérieur du pays. Des patrouilles militaires étaient visibles, le 17 mars, partout dans les grandes villes. Un communiqué du ministère de la Défense nationale diffusé le 16 mars, avance : «Des informations concordantes font état de la préparation d’une attaque contre notre pays, après la République sœur de la Guinée Equator...lire la suite

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