Guinea Bissau

La CEDEAO a condamné le 4 avril, dans un communiqué, la situation "de plus en plus inquiétante des actes d'anarchie et les violations des droits humains" qui secouent la Guinée Bissau. Le 23 mars, les forces armées ont mis en détention M. Pedro Infanda, un avocat, pour des déclarations qu'il a faites à la presse et l’ont physiquement agressé alors qu'il était en détention. ?A peine une semaine plus tard, soit le 1er avril, des hommes armés en treillis militaires ont attaqué le président de la...lire la suite

Avec 80 pour cent de l’eau de la capitale bissau-guinéenne contaminée par des bactéries nocives, les habitants sont habitués aux épidémies de choléra et autres maladies diarrhéiques mortelles, mais les bailleurs ne pourront financer d’importants projets de construction d’infrastructures que si la stabilité du pays peut être garantie, disent-ils. La dernière épidémie de choléra, dont le gouvernement a déclaré la fin au début du mois de février 2009, a fait 225 morts et touché quelque 14 000 pe...lire la suite

L’élection présidentielle anticipée prévue début mai en Guinée-Bissau, à la suite de l’assassinat, le 2 mars du chef de l’Etat Joao Bernardo Vieira, a été repoussée au 28 juin. “Après concertation avec l’ensemble de la classe politique, le Premier ministre Carlos Gomes Junior a rendu publique la date du 28 juin comme étant celle de la présidentielle anticipée”, ) annoncé le gouvernement, le 2 avril Le scrutin aura donc lieu environ “120 jours” après l’assassinat du chef de l’Etat “au lieu de ...lire la suite

La FIJ a le 2 avril le gouvernement de la Guinée Bissau à mettre fin aux menaces et intimidations dont les journalistes font l’objet depuis les évènements tragiques du double assassinat du chef d’état major des armées et du président de la République les 1er et 2 mars 2009.

« Nous dénonçons ces menaces et intimidations qui pèsent sur les journalistes qui informent sur le double assassinat du Président Nino Viera et du Chef d’Etat Major Tagme Na Waie, en vue de les réduire au silence....lire la suite

Trois officiers supérieurs de l’armée bissau-guinéens ont été interpellés par des militaires pour être entendus dans le cadre de l’enquête sur l’attentat meurtrier contre le chef d’état-major des forces armées, le général Batista Tagmé Na Waié le 1er mars. Parmi les personnes arrêtées figurent l’ancien porte-parole de l’état-major des forces armées, le colonel Arsène Baldé, tout comme le colonel Abdoulaye Ba, membre de l’état-major. L’assassinat de Tagmé Na Waié avait été suivi, quelques heur...lire la suite

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