Après la grâce par le président Idriss Déby des six Français de l’Arche de Zoé, la justice tchadienne, « désavouée », a dû ravaler son orgueil, tandis que les familles des enfants attendent toujours d’être indemnisées. Néanmoins, l’affaire de l’Arche de Zoé fait paradoxalement moins de bruit au Tchad, où les enfants ont été enlevés, qu’en France où, à peine libre, le président de l’association « humanitaire » se fait remarquer, en assurant que son opération au Tchad a été encouragée par le go...lire la suite
Après la grâce par le président Idriss Déby des six Français de l’Arche de Zoé, la justice tchadienne, « désavouée », a dû ravaler son orgueil, tandis que les familles des enfants attendent toujours d’être indemnisées. Néanmoins, l’affaire de l’Arche de Zoé fait paradoxalement moins de bruit au Tchad, où les enfants ont été enlevés, qu’en France où, à peine libre, le président de l’association « humanitaire » se fait remarquer, en assurant que son opération au Tchad a été encouragée par le gouvernement français. Un journaliste tchadien explique.