Jamais trois sans quatre. Après la République démocratique du Congo, le Togo et le Gabon d’autres fils de chef d’Etat piaffent d’impatience dans l’antichambre du pouvoir. La formule d’une présidence héréditaire fait désormais recette dans les pays africains. Au Cameroun, la question brûle les lèvres. Frank Emmanuel Olivier Biya succèdera-t-il à Paul Biya ? Personne n’en parle ouvertement, mais tout le monde s’interroge. Assez discret et d'une sobriété légendaire, loin du champ visuel de la po...lire la suite
Jamais trois sans quatre. Après la République démocratique du Congo, le Togo et le Gabon d’autres fils de chef d’Etat piaffent d’impatience dans l’antichambre du pouvoir. La formule d’une présidence héréditaire fait désormais recette dans les pays africains. Au Cameroun, la question brûle les lèvres. Frank Emmanuel Olivier Biya succèdera-t-il à Paul Biya ? Personne n’en parle ouvertement, mais tout le monde s’interroge. Assez discret et d'une sobriété légendaire, loin du champ visuel de la politique, le fils aîné du président de la République est cependant différent des autres fils de chef d’Etat, un peu trop présents dans les arcanes du pouvoir. Il reste loin des affaires d’Etat et semble ne pas être intéressé par le pouvoir.