Cameroon

Des hommes politiques issus des partis de l’opposition condamnent avec fermeté la formule de gouvernance à distance pratiquée par Paul Biya, tout en remarquant que ce n’est pas la première fois que le chef de l’Etat disparait des écrans radars, sans donner de nouvelles à son peuple. Pour Ernest Peukeho, le président national du Bloc uni pour la reconstruction et l’indépendance économique du Cameroun (Bric), l’absence prolongée de Paul Biya est une justification de ce que le pays n’est pas gou...lire la suite

Selon plusieurs sources, le dernier voyage en terre camerounaise de l’ancien Premier ministre français François Fillon avait déjà mis sur la table une probable création d’une base militaire française au Cameroun. Fier de sa souveraineté «hérité» de son prédécesseur, M. Paul Biya, n’avait pas daigné accepter l’offre. Les réalités vont alors le rattraper quelques années plus tard avec le rapt de la famille Moulin-Fournier qui constituera pour la France le premier ballon d’essai d’une mise en ga...lire la suite

Aminatou Ahidjo, fille du premier président camerounais, Amhadou Ahidjo, condamné à mort par contumace en 1985 par le régime de Paul Biya, a annoncé vendredi 6 septembre à Yaoundé son ralliement au parti de M. Biya. Rentrée récemment de Dakar où l'ancien président est inhumé et où sa veuve réside toujours, Aminatou Ahidjo a affirmé que son ralliement au Rdpc était "aussi le choix du coeur".

La météo continue à être désastreuse pour Biya. Après Paris et son tête à tête manqué avec Hollande, il avait un plan ‘b’ pour le Vatican où le président projetait de se rendre (pour renforcer sa foi ?). Il devra se trouver un autre ‘point de chute’, pour cause le pape démissionnaire. Mais en attendant, une patate chaude vient de lui être refilée : sept Français ont été enlevés mardi 19 février par des hommes armés au parc national de Waza. Il s'agit d'une famille d'expatriés installée au Cam...lire la suite

Le chef de l’Etat camerounais a transmis à l’Assemblée nationale, le 13 novembre 2012, un projet de loi visant à adapter la loi portant fonctionnement du « Conseil des sages de la République » à la modification constitutionnelle de 2008. Laquelle modification inféodait déjà le Conseil constitutionnel au pouvoir exécutif et limitait le champ de liberté de ses membres. Le débat est vieux de 4 ans déjà. Mais alors que la classe politique l’avait quelque peu relégué au second plan, le président d...lire la suite

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