Burkina Faso
PC

A peine le permis d’exploitation de la mine accordé par le gouvernement burkinabè, la compagnie décidait de licencier des salariés. Certains des travailleurs congédiés ont accepté de partir contre paiement de leurs droits légaux ; les autres, en union avec les travailleurs reconduits, ont entamé une série de négociations. Mais l’affaire a fini en justice.

Eddie Constance Komboïgo, le chef du parti de l’ex-président burkinabè Blaise Compaoré, a été inculpé par le Tribunal militaire de Ouagadougou pour "attentat à la sûreté de l’Etat" et "complicité d’assassinat", a-t-on appris vendredi 29 janiver, de source sécuritaire. Eddie Komboïgo est le deuxième chef d’un parti politique dans ce dossier après l’arrestation et l’inculpation de Me Hermann Yaméogo, leader de l’Union pour la démocratie et le développement, un petit parti pro-Compaoré. Il avait...lire la suite

PZ

Le Burkina Faso n’a aucun compte à régler avec les groupes djihadistes au point de mériter les attentats barbares du 15 janvier dernier. On peut même se permettre de dire qu’en dehors du fait insensé de s’en prendre aux soi-disant «intérêts occidentaux», ils n’avaient rien à gagner à semer la terreur dans notre pays. Sauf, évidement à agir pour le compte d’individus ou de groupes qui cherchent à tout prix à déstabiliser les institutions démocratiques afin de prendre ou de reprendre le contrôl...lire la suite

BT

Si l'attentat de Ouagadougou, particulièrement meurtrier, a retenu l’attention de nos médias, d’autres évènements, rapprochés dans le temps, font penser à de véritables tentatives concertées de déstabilisation de la jeune démocratie burkinabè.

AN

L’attentat au Burkina aurait été revendiqué par Al-Qaida au Maghreb islamique. Au-delà des réponses de sécurité et de justice, il s’agit de s’attaquer aux causes profondes qui rendent possibles ces actes inqualifiables.

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