Les compagnies pétrolières opérant au Nigeria doivent faire face à une vague croissante de vols de brut, estimés à 150. 000 barils par jour, a déclaré un responsable de Shell. Les attaques contre les installations pétrolières par des activistes revendiquant de se battre pour un partage de la manne pétrolière au profit des habitants avaient, au plus fort de la crise, fait perdre un million de barils par jour à la production nigériane. En 2009, une amnistie des attaquants, impulsée par le gouve...lire la suite
Les compagnies pétrolières opérant au Nigeria doivent faire face à une vague croissante de vols de brut, estimés à 150. 000 barils par jour, a déclaré un responsable de Shell. Les attaques contre les installations pétrolières par des activistes revendiquant de se battre pour un partage de la manne pétrolière au profit des habitants avaient, au plus fort de la crise, fait perdre un million de barils par jour à la production nigériane. En 2009, une amnistie des attaquants, impulsée par le gouvernement, avait mis un terme à la violence et entraîné un rebond du rendement pétrolier, qui avait grimpé à des niveaux jamais atteints depuis des années.