Avant le génocide rwandais, Mutiribambi Aziri et Jacqueline Mukamana habitaient dans des maisons voisines dans la ville de Nyamata, au sud de Kigali, la capitale. Mais pendant les 100 jours de massacre, qui ont commencé en avril 1994, Mme Mukamana, jeune élève tutsie, et M. Aziri, paysan hutu, se sont retrouvés dans des camps opposés tandis que 800 000 Tutsis et Hutus modérés étaient massacrés par des miliciens hutus, baptisés Interahamwe, et des citoyens rwandais ordinaires. Plus de 13 année...lire la suite
Avant le génocide rwandais, Mutiribambi Aziri et Jacqueline Mukamana habitaient dans des maisons voisines dans la ville de Nyamata, au sud de Kigali, la capitale. Mais pendant les 100 jours de massacre, qui ont commencé en avril 1994, Mme Mukamana, jeune élève tutsie, et M. Aziri, paysan hutu, se sont retrouvés dans des camps opposés tandis que 800 000 Tutsis et Hutus modérés étaient massacrés par des miliciens hutus, baptisés Interahamwe, et des citoyens rwandais ordinaires. Plus de 13 années plus tard, ils sont voisins de nouveau.