48 clandestins rescapés des eaux ont été acheminés ce week-end dans la ville de Nouadhibou dans le nord du pays, à 50 km de la frontière avec le Sahara occidental. Selon leur témoignage, plusieurs dizaines de leurs compagnons auraient disparus. Ce lundi les autorités locales ont également repêché 2 corps vers la plage de Laguerra, à quelques kilomètres de Nouadhibou. Dimanche dernier, un pêcheur mauritanien a sauvé 28 clandestins, retrouvés sur une pirogue en bois qui avait chaviré à environ ...lire la suite

Tsosi oscarisé. L’œuvre du Sud-Africain a remporté la célèbre récompense américaine, dimanche, dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère. Lors de cette 78e édition de la cérémonie hollywoodienne, Tsotsi était en compétition avec quatre autres films : La bestia nel cuore de Cristina Comencini (Italie), Joyeux Noël de Christian Carion (France), Paradise Now de Hany Abu-Assad (Palestine) et Sophie Choll - The final days de Marc Rothermund (Allemagne).

Bien que la guerre civile libérienne se soit achevée il y a plus de deux ans, des milliers de personnes ayant trouvé refuge dans des camps situés en Guinée voisine n’ont aucune intention de rentrer chez eux, ni aujourd’hui, ni demain. « J’ai laissé quitté le Liberia. Je n’y retournerai jamais », déclare Betty Farngalo, une jeune femme de 21 ans, qui se tient à l’extérieur de sa maison de banco, dans le camp de réfugiés de Laine. Accueillant actuellement plus de 18 000 réfugiés libériens, ce c...lire la suite

Pour ceux qui s'intéressent à l'évolution actuelle du monde et au destin de l'Afrique en particulier, l'Afrique du Sud constitue un terrain privilégié d'observation. Alors qu'une grande partie du continent est engouffrée dans la spirale de la corruption, de la brutalité et de l'autodestruction, l'on peut étudier, ici, les logiques paradoxales d'une société en pleine reconstitution. Pendant que s'amoncellent, dans maints autres pays, les signes d'une décadence certaine, l'on peut y voir, disti...lire la suite

« ci au Faso, la vie est dure ». Cette expression n'est pas de nous, mais du groupe burkinabè de RAP, K-Ravane qui, à travers son morceau fétiche « Viima ya kanga », raconte les souffrances et autres misères auxquelles sont soumises les populations du "Pays des hommes intègres". Et si la vie est dure dans notre Faso frappé de plein fouet par la sécheresse et bien d'autres maux sociaux, tels la mal gouvernance, en Guinée-Conakry, la situation est encore plus explosive. En effet, pas plus tard ...lire la suite

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