déc 17, 2012
Leurs principaux dirigeants ont été récemment primés au niveau international pour leur gouvernance, mais ces honneurs les Tunisiens n’en ont cure. Face au taux élevé de chômage, à l’insécurité, etc., les déçus du «Printemps arabe» retrouvent des accents de révolte. D’aucuns en viennent même à dire que la vie était meilleure sous Ben Ali.