La plus terrible des répressions françaises au temps colonial eut lieu à Madagascar. Cent mille morts, 200 000 morts ? La France n’a jamais cessé de réfuter, de recompter et de réviser les bilans. Les victimes ont été fusillées avec ou sans procès, sont morts dans les camps d’internement, ont succombé à l’épuisement ou à la faim. Des femmes et des enfants. Des politiques comme des éléments du mouvement syndical. La résistance malgache à cette répression a été l’un des signes avant-coureurs de...lire la suite
La plus terrible des répressions françaises au temps colonial eut lieu à Madagascar. Cent mille morts, 200 000 morts ? La France n’a jamais cessé de réfuter, de recompter et de réviser les bilans. Les victimes ont été fusillées avec ou sans procès, sont morts dans les camps d’internement, ont succombé à l’épuisement ou à la faim. Des femmes et des enfants. Des politiques comme des éléments du mouvement syndical. La résistance malgache à cette répression a été l’un des signes avant-coureurs de la décolonisation en Afrique francophone.