Gary K. Busch

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En Afrique de l’Ouest, il est un dicton qui décrit le pouvoir actuel d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire : "quand un singe monte très haut dans un arbre, on finit pas voir son cul".

Au jour d’aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est une fois de plus une colonie française ; sinon en titre, du moins dans les faits. Ouattara n’a pas de base politique, à l’exception des Français, et vit dans la peur de se faire assassiner. Il y a une recrudescence de l’agitation dans le pays alors que le pillage perdure. Des pseudo élections municipales ne sont pas le remède. La France qui a installé Ouattara est maintenant au plus bas dans le monde entier. Son économie est en ruine, son armée a at...lire la suite

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La forme des réseaux de transport, qui résulte de l’externalisation de la construction d’infrastructures de transport international, s’inscrit dans la continuation des liens entre les pays africains et les anciennes puissances coloniales. Il s’agit là d’un facteur qui pèse lourd pour freiner l’intégration et le développement des échanges intra africains.

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Les profits et richesses à gagner de l’exploitation des ressources naturelles du Congo oriental continuent d’alimenter la violence, le pillage et la souffrance de la population congolaise.

Une fracture est née en Côte d’Ivoire, dont Gbagbo n’est pas l’auteur, mais dont les origines remontent à la présidence de Bédié, avec l’Ivoirité. Le conflit nord-sud s’est nourri de cette division, alimenté par la France pour continuer à assurer sa mainmise coloniale sur les richesses de ce pays. Dès lors, analyse Gary K. Busch, tout le processus électoral a été une succession de putschs contre le régime de Gbagbo.