L’affaire extraconjugale invoquée pour la démission du chef de la CIA, le général Petraeus, est insignifiante en comparaison avec son appartenance à une section de l’armée américaine et des services de renseignement qui poursuivent un complexe et global programme de droite. C’est dans ce cadre que des journalistes et des universités ont été manipulés, que le récit des succès d’AFRICOM, notamment en Libye, a été largement répandu aux Etats-Unis. Mais la mort de l’ambassadeur Stevens à Benghazi...lire la suite
L’affaire extraconjugale invoquée pour la démission du chef de la CIA, le général Petraeus, est insignifiante en comparaison avec son appartenance à une section de l’armée américaine et des services de renseignement qui poursuivent un complexe et global programme de droite. C’est dans ce cadre que des journalistes et des universités ont été manipulés, que le récit des succès d’AFRICOM, notamment en Libye, a été largement répandu aux Etats-Unis. Mais la mort de l’ambassadeur Stevens à Benghazi a détruit ce mythe.