Alors que des voix se lèvent et appellent au boycott, dans une lettre ouverte du 10 mai 2013, la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, est sortie de son silence pour donner les raisons de sa participation à la marche pacifique contre les crimes rituels, dans la capitale gabonaise. Pour elle, sa participation à la marche est un engagement personnel, libre et sincère que partagent beaucoup de Gabonais aujourd’hui concernés par le phénomène des crimes rituels qui ont endeuillé plusieurs ...lire la suite
Alors que des voix se lèvent et appellent au boycott, dans une lettre ouverte du 10 mai 2013, la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, est sortie de son silence pour donner les raisons de sa participation à la marche pacifique contre les crimes rituels, dans la capitale gabonaise. Pour elle, sa participation à la marche est un engagement personnel, libre et sincère que partagent beaucoup de Gabonais aujourd’hui concernés par le phénomène des crimes rituels qui ont endeuillé plusieurs familles, et aussi parce que ces actes humains et inacceptables, interpellent chacun des Gabonais.