Gabon

Les travaux de la première session de la commission mixte de coopération entre le Burkina Faso et le Gabon, qui se sont déroulés les 5 et 6 novembre 2012 à Ouagadougou au Burkina Faso, ont abouti à la suppression des visas à l'endroit des ressortissants gabonais et burkinabés détenteurs de passeports diplomatiques. Pour sa part, le Ministre burkinabé des Affaires étrangères, M. Djibrill Bassolé a signifié la volonté des deux pays de mieux encadrer l'immigration et définir les modalités de séj...lire la suite

La nouvelle gronde comme le tonnerre dans le ciel de la francophonie. Ali Bongo, dans un langage très diplomatique, annonce le futur divorce de son pays d’avec la langue de Molière. En effet, on peut lire dans une dépêche de l’Agence France Presse, les propos du numéro un gabonais du genre : «Si l’expérience rwandaise est concluante, pourquoi nous ne nous inspirions pas d’une telle expérience…». Selon toujours la même source, la visité du président gabonais à Kigali le 6 octobre prochain est ...lire la suite

Un rapport conjoint du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) et Interpol, estime entre 30 et 100 milliards de dollars par an, la valeur du commerce illégal du bois par des groupes du crime organisé. Intitulé « Carbon Green : commerce noir », le rapport affirme que l'exploitation forestière illégale représente aujourd'hui entre 15 et 30% du commerce mondial légal et entrave de manière significative les émissions de Réduction de déforestation et dégradation de forêts (REDD).

«Les noms de plusieurs personnalités politiques de l’opposition, tels que Zackarie Myboto, Jean Eyeghe Ndong, André Mba Obame, Jules Aristide Bourdes Ogouliguendé, Louis Gaston Mayila, Fabien Mbeng Ekorezock, Paul Marie Gondjout et Chantal Myboto », sont sur les listes noires qui circulent dans les cercles sécuritaires du pouvoir, lequel chercherait à les éliminer physiquement. C’est en tout cas l’avis des responsables de l’Union des forces du changement (UFC). Les leaders de l’UFC estiment a...lire la suite

Depuis le coup d’Etat électoral qui l’a porté au pouvoir en 2009, Ali Bongo Odimba s’est engagé dans un processus de monarchisation du pouvoir, qui s’accompagne d’une politique d’accaparement et de prédation des richesses du Gabon. Las de voir le peuple subir, l’opposition s’est engagée dans un processus de mobilisation et de lutte pour les droits fondamentaux du peuple gabonais

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