Cote d’Ivoire

Les Etats-Unis se disent déçus que les élections « tant attendues » en Côte d’Ivoire soient, une fois de plus, reportées. Il est impératif que toutes les parties ivoiriennes œuvrent pour l’organisation sans retard additionnel de ce scrutin, a déclaré le 24 novembre le porte-parole du département d’Etat américain. Le président Laurent Gbagbo, les leaders de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles et de l’opposition ont dit, le mois dernier, que les élections du 29 novembre seraient repoussée...lire la suite

Les parents d'élèves et d’étudiants de Côte d'Ivoire ne cachent plus leur inquiétude devant la grève qui secoue le milieu éducatif et risque de peser sur les résultats aux examens. Depuis le 2 novembre dernier, les enseignants du supérieur, du secondaire (depuis le 12 novembre) et du primaire (depuis le 23 novembre) sont en grève illimitée. Les revendications portent sur des salaires et des arriérés dus.

Peut être un pas de plus effectué vers le règlement du conflit que vit la Côte d'Ivoire depuis 2002. Le président ivoirien Laurent Gbagbo a en effet signé, le 16 novembre, un décret destiné à régler l'épineuse question des grades des officiers et sous-officiers de l'armée passés à la rébellion à l'occasion du coup d'Etat manqué de 2002. La mesure concerne environ 400 personnes, du plus petit grade de caporal au grade de général. Au total, sept décrets portant, entre autres, sur le statut des ...lire la suite

Le 10 novembre, le président de la Commission électorale indépendante (CEI) en Côte d’Ivoire a remis la liste électorale provisoire au représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU. L’ONUCI sera ensuite chargée de l’acheminer dans tous les 10.818 centres de collecte sur toute l’étendue du territoire ivoirien où elle sera affichée à partir du lundi 16 novembre 2009. Les opérateurs techniques impliqués dans le processus électoral ont achevé leur travail pour croiser les données relatives ...lire la suite

C’est maintenant une certitude, il n’y aura pas d’élection en Cote d’Ivoire le 29 novembre prochain. L’information contenue dans un document circulait déjà dans les différents QG politiques ivoiriens depuis plus d’un mois, sans qu’aucun d’entre les acteurs concernés n’ait le courage de l’annoncer publiquement, de peur d’encourir le courroux de la France et de l’ONU. Maintenant c’est chose faite. Le premier à se jeter à l’eau fut Laurent Dona Fologo, deuxième personnalité du Haut Conseil Polit...lire la suite

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