En Tunisie au mois de mai, 5 femmes et 17 hommes, professionnel des médias, ont été victimes d’agressions physiques, d’entraves à l’exercice professionnel, de poursuites judiciaires et de harcèlement. Le comptage a été fait par le Centre de Tunis pour la liberté de la presse (Ctlp) qui vient de rendre public son rapport. Parmi les groupes qui s’en prennent aux professionnels des médias, il y a les forces du maintien de l’ordre, les fonctionnaires publics, les citoyens lamda et les administrat...lire la suite
En Tunisie au mois de mai, 5 femmes et 17 hommes, professionnel des médias, ont été victimes d’agressions physiques, d’entraves à l’exercice professionnel, de poursuites judiciaires et de harcèlement. Le comptage a été fait par le Centre de Tunis pour la liberté de la presse (Ctlp) qui vient de rendre public son rapport. Parmi les groupes qui s’en prennent aux professionnels des médias, il y a les forces du maintien de l’ordre, les fonctionnaires publics, les citoyens lamda et les administrations des médias. Les villes où les journalistes sont le plus exposés sont Tunis, Kairouan, Gafsa et Kébili.