En mars 2009, l'Assemblée nationale a voté une série de lois sur le statut de l'opposition, à l'élection présidentielle, au financement des partis, au quotas sur les élections législatives et locales, sur la composition de la CENI et sur le Code électoral. Le PAI de Soumane Touré rejette l'ensemble de ces textes qu'il estime, arguments à l'appui, anti constitutionnels. Le fait qu’elles ont ont été votées par l'Assemblée nationale constitue, selon Soumane Touré une faute grave. Entre autres s...lire la suite
En mars 2009, l'Assemblée nationale a voté une série de lois sur le statut de l'opposition, à l'élection présidentielle, au financement des partis, au quotas sur les élections législatives et locales, sur la composition de la CENI et sur le Code électoral. Le PAI de Soumane Touré rejette l'ensemble de ces textes qu'il estime, arguments à l'appui, anti constitutionnels. Le fait qu’elles ont ont été votées par l'Assemblée nationale constitue, selon Soumane Touré une faute grave. Entre autres solutions, il demande au président du Faso de dissoudre l'Assemblée nationale et demande au Conseil constitutionnel de ne pas valider ces lois.