Senegal

Après douze mois de traque des biens supposés mal acquis, la ministre de la Justice du Sénégal a remis mercredi 29 mai, un chèque d’un milliard de franc Cfa, recouvrés dans le cadre de la traque des biens mal acquis, au ministre du Budget. Cette somme servira à renforcer les moyens des forces de sécurités. La ministre de la Justice a affirmé que cet argent provenait d’entreprises qui ont accepté de transiger dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Selon les déclarations du ministre, ...lire la suite

Dans son rapport annuel, Amnesty international exige le retour du troisième Sénégalais condamné à mort par le régime du président Yaya Jammeh et la restitution des corps des deux autres Sénégalais exécutés «afin qu’un enterrement digne leur soit offert par leurs familles». Le gouvernement sénégalais avait annoncé, en grande pompe, que le dernier condamné avait été gracié, mais jusqu’ici, il serait toujours en prison.

M D

Derrière les discours officiels sur la coopération dans la lutte contre les flux migratoires irréguliers entre l’Afrique et l’Espagne, frontière méridionale de l’Europe, existe une autre réalité sociale dont les protagonistes sont les familles. Particulièrement ces femmes dont l’époux ou le fils a péri dans un naufrage d’embarcation de fortune.

L’Assemblée nationale du Sénégal a voté la loi contre la peine de mort. Seulement, loi n’a pas encore été ratifiée par le gouvernement du Sénégal et donc n’est pas entrée en vigueur. Les Nations Unies et Amnesty international, qui militent pour l’abolition de la peine de mort, invitent le gouvernement du président Macky Sall à entériner cette loi votée il y a bientôt dix ans sous le magistère du président Abdoulaye Wade. Dans la sous-région, seuls le Bénin, le Cap Vert et le Libéria ont ratif...lire la suite

Le gouvernement du Sénégal a émis l’idée de permettre aux étudiants de s’inscrire via internet. Même si elle n’est pas encore effective, cette mesure semble de loin plus populaire que celle qui consiste à revoir à la hausse les frais d’inscription à hauteur de 150 000 francs. Une proposition qui porte la signature de la Concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur pilotée par le Professeur Souleymane Bachir Diagne. Toutefois, nombre d’étudiants ont également émis le souhait...lire la suite

Pages