Les réfugiés Mauritaniens refusent d'être les victimes d'‘une mise à mort sélective’ et programmée, selon eux, par les représentants du Haut commissariat des réfugiés (Hcr) basés au Sénégal. En effet, selon leur porte-parole, Samba Amadou Niasse, depuis 1989, date de leur arrivée au Sénégal, ‘le Hcr ne s'est jamais rendu au niveau de (leur) site d'hébergement pour s'enquérir de (leur) situation’. Et, ajoutera-t-il, l'actuelle représentante du Hcr manifeste une indifférence qui frise le ’mépri...lire la suite
Les réfugiés Mauritaniens refusent d'être les victimes d'‘une mise à mort sélective’ et programmée, selon eux, par les représentants du Haut commissariat des réfugiés (Hcr) basés au Sénégal. En effet, selon leur porte-parole, Samba Amadou Niasse, depuis 1989, date de leur arrivée au Sénégal, ‘le Hcr ne s'est jamais rendu au niveau de (leur) site d'hébergement pour s'enquérir de (leur) situation’. Et, ajoutera-t-il, l'actuelle représentante du Hcr manifeste une indifférence qui frise le ’mépris’ à leur égard.