Malgré toutes les dispositions qui ont été prises par le gouvernement sénégalais, l'émigration clandestine continue de faire des victimes. Pour mettre un terme à ce genre d'aventures suicidaires, les femmes des zones les plus touchés par le phénomène ont créé un collectif. L'idée étant de sensibiliser leurs progénitures sur le danger permanent qui les guette. Selon le représentant de l'Organisation internationale pour la migration, plus de 25 000 migrants ont débarqué cette année sur les côte...lire la suite
Malgré toutes les dispositions qui ont été prises par le gouvernement sénégalais, l'émigration clandestine continue de faire des victimes. Pour mettre un terme à ce genre d'aventures suicidaires, les femmes des zones les plus touchés par le phénomène ont créé un collectif. L'idée étant de sensibiliser leurs progénitures sur le danger permanent qui les guette. Selon le représentant de l'Organisation internationale pour la migration, plus de 25 000 migrants ont débarqué cette année sur les côtes des Canaries et beaucoup ont péri en mer ou sont morts de faim et de fatigue. Le gros du lot vit à Yarakh, village de pêcheurs du Sénégal, le plus touché par cette fièvre de l'émigration.