Mozambique

En 2003, la signature du protocole de Maputo par les Etats membres de l’Union africaine marque une avancée significative pour les droits des femmes sur le continent. Adopté le 11 juillet 2003, ce texte majeur symbolise l’engagement des Etats africains à mettre un terme aux discriminations et aux violences faites aux femmes. Dix ans plus tard, en 2013, la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme propose l’état des lieux. Sur les 54 états membres de l’Union Africaine, 36 pays ...lire la suite

Des dizaines d'éléments de la police antiémeute et de soldats mozambicains ont mené, au cours du week-end dans le centre du pays, une attaque contre un repaire déserté des partisans armés du parti d'opposition, la Renamo, a déclaré lundi 8 juillet un officier de police. Il a affirmé qu'aucune arrestation n'avait eu lieu, car les hommes armés avaient, semble-t-il, eu vent de l'intervention et s'étaient enfuis de leur bastion secret du district de Chibabava, à Sofala. Toutefois, les forces gouv...lire la suite

Le chef de l'ancienne guérilla mozambicaine, la Renamo, a annoncé mercredi 3 juillet qu'il était prêt à quitter le maquis pour discuter avec le gouvernement, si celui-ci retirait ses troupes, après un regain de violences ces derniers mois entre les deux camps. "Le jour où le président (Armando) Guebuza retire ses forces autour de Satunjira et Gorongosa, je pourrai me rendre à Maputo. Cela peut être demain", a déclaré Afonso Dhlakama, depuis son bastion dans le centre du pays. Des combats meur...lire la suite

Une grève des médecins entraînant depuis plus de trois semaines la quasi-paralysie des hôpitaux du Mozambique, fait souffrir les populations. Quelques-uns des principaux hôpitaux du pays renvoient les malades chez eux, en raison d'un mouvement de grève observé depuis le 20 mai par les personnels de santé, notamment les médecins, qui réclament des hausses de salaire et de meilleures conditions de travail. Seuls les soins essentiels sont assurés. Les médecins, dont beaucoup gagnent moins de 460...lire la suite

Parmi les 1 429 foyers relogés pour faire place aux chantiers des sociétés internationales Vale et Rio Tinto, qui exploitent des mines de charbon dans la province de Tete au Mozambique, beaucoup rencontrent de grandes difficultés pour se procurer de la nourriture et de l'eau et pour travailler, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié jeudi 23 mai. Le gouvernement mozambicain s'est empressé d'accorder ces concessions minières, ouvrant ainsi la porte à des investissements qui se chi...lire la suite

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