Mozambique

Les résultats provisoires des élections municipales du mercredi 20 novembre confirment l'ancrage des deuxième et quatrième plus grandes villes du pays dans le giron de l'opposition. Le Mouvement démocratique du Mozambique, aurait réussi à conserver Beira et Quelimane. Mais dans cette dernière ville, des violences ont coûté la vie à trois personnes. La police, notamment, a tué un jeune.

L'un des chefs de gang les plus recherchés du Mozambique, soupçonné d'avoir assassiné un directeur de prison et d'avoir orchestré une série d'enlèvements, a été sauvagement abattu par des hommes armés non identifiés à la périphérie de la capitale Maputo. Bernardo Timana était recherché par les autorités pour le meurtre du directeur de la prison centrale de Maputo Jorge Microsse en 2005 et pour une série d'enlèvements. L'un de ses fils est soupçonné d'être l'un de ses complices, et un autre de...lire la suite

Le Frelimo, le parti au pouvoir au Mozambique, est assuré d'une nouvelle victoire selon les premiers résultats des élections municipales du mercredi 20 novembre, également marquées par des progrès d'un nouveau parti d'opposition. Le scrutin s'est déroulé dans le calme, malgré les craintes d'incidents, les hostilités ayant repris ces derniers mois dans le centre du pays entre les forces gouvernementales et les anciens guérilléros de la Renamo, qui ont boudé les urnes. Le Frelimo, vainqueur de ...lire la suite

Une série d'enlèvements et des affrontements armés rappelant douloureusement la guerre civile menacent de faire fuir les touristes qui, depuis le retour de la paix, viennent en nombre profiter des plages de rêve du Mozambique. Alors qu'approchent les vacances d'été de l'hémisphère sud, les hôteliers, voyagistes et commerçants des stations balnéaires de la côte mozambicaine devraient préparer l'arrivée des estivants, qui viennent en majorité de l'Afrique du Sud voisine. Mais les affrontements ...lire la suite

Plus de 300 anciens agents secrets mozambicains ont manifesté devant le palais présidentiel jeudi à Maputo pour demander le paiement de leurs pensions. Les anciens espions, qui disent être plus de 2.000, affirment avoir été remerciés et remplacés par des plus jeunes. Ils réclament plus de trois ans d'arriérés de pensions.

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