Décidément, le Bénin est devenu un terreau fertile à la corruption. Car, c’est dans ce pays que naissent des scandales de tout genre dont l’ampleur dépasse souvent l’entendement. En effet, après l’affaire ICC-services, du nom de cette vaste escroquerie qui avait éclaboussé le pays de Mathieu Kérékou (président de 1972 à 1990 et de 1996 à 2006), il est aujourd’hui question d’une gestion opaque des fonds débloqués au profit du projet de construction de l’Assemblée nationale. Plus de 14 milliard...lire la suite
Décidément, le Bénin est devenu un terreau fertile à la corruption. Car, c’est dans ce pays que naissent des scandales de tout genre dont l’ampleur dépasse souvent l’entendement. En effet, après l’affaire ICC-services, du nom de cette vaste escroquerie qui avait éclaboussé le pays de Mathieu Kérékou (président de 1972 à 1990 et de 1996 à 2006), il est aujourd’hui question d’une gestion opaque des fonds débloqués au profit du projet de construction de l’Assemblée nationale. Plus de 14 milliards de francs Cfa (plus de 2 millions d'euros), dit-on, ont été engloutis dans les travaux pour des résultats jugés insuffisants. Toute chose qui, à juste titre, a mis les députés hors d’eux-mêmes au point qu’ils ont fini par demander des comptes au gouvernement.