Benin

Coup de théâtre au Bénin : le président Yayi Boni vient de décider de libérer toutes les personnes accusées dans l’affaire de tentative d’empoisonnement et accorde son pardon à Patrice Talon. Il s’agit là d’un vrai rebondissement dans cette affaire qui a tenu en haleine ce pays depuis de longs mois tout en envenimant le climat politique dans le pays. L’homme d’affaire Patrice Talon dont l’extradition avait été demandée par le Bénin à la France n’a pas encore réagi à ce développement. A quelqu...lire la suite

Le chef de l’Etat Yayi Boni et le directeur général de la Société béninoise de manutentions portuaires (Sobemap), Soumanou Séibou Toléba sont au cœur d’un scandale financier qui défraie la chronique depuis le lundi 5 mai dernier à la faveur d’une dénonciation de Jean-Baptiste Elias, président du Fonac. En effet, la cagnotte de 14 milliards FCfa constituée par un prêt à la Banque ouest africaine de développement (Boad) et un complément de la Sobemap elle-même qui devait servir à acquérir des é...lire la suite

En dépit de l’appel à la reprise de travail, le nouveau bureau transitoire du Front d’action des trois ordres de l’enseignement ne démord pas. Réuni le mercredi 23 avril 2014 à la Bourse du travail à Cotonou, il a appelé tous les enseignants à poursuivre la paralysie jusqu’à satisfaction de ses revendications. Intégralité de sa déclaration…

Encore des soucis pour Boni Yayi. Les élections communales toujours en sursis irritent les partenaires techniques et financiers qui ne veulent pas cautionner ce forfait. Après les Nations-Unies, l’Union européenne vient de rappeler à l’ordre le chef de l’Etat, conditionnant son aide budgétaire à l’organisation des communales. Cette situation a conduit à une rencontre improvisée entre Boni Yayi et ld président de l’Assemblée, Mathurin Nago.

Des agents de l’administration publique béninoise ont manifesté mardi 25 mars à Cotonou pour exiger la démission des auteurs de la répression sanglante du 27 décembre dernier. Ils présentent le départ de Placide Azande, préfet de l’Atlantique littoral et de Pierre Ago salou, commissaire central de la ville de Cotonou qui, selon eux, sont responsables de cette répression comme des préalables à la reprise du service. La population et les syndicats avaient manifesté à Cotonou ce jour-là pour une...lire la suite

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