Tel un beau diable, le président nigérian, Goodluck Jonathan, se démène dans tous les sens pour se donner les moyens de venir à bout de Boko Haram. En effet, après le Sos lancé en direction de la communauté internationale qui a répondu par l'envoi d'experts civils et militaires et de moyens ultra-modernes dont l'efficacité reste à prouver, le président nigérian a, cette fois-ci, l'intention de recourir à un prêt extérieur d'un milliard de dollars pour renforcer les équipements de l'armée nati...lire la suite
Tel un beau diable, le président nigérian, Goodluck Jonathan, se démène dans tous les sens pour se donner les moyens de venir à bout de Boko Haram. En effet, après le Sos lancé en direction de la communauté internationale qui a répondu par l'envoi d'experts civils et militaires et de moyens ultra-modernes dont l'efficacité reste à prouver, le président nigérian a, cette fois-ci, l'intention de recourir à un prêt extérieur d'un milliard de dollars pour renforcer les équipements de l'armée nationale, engagée dans une lutte contre les illuminés de la secte islamiste, Boko Haram. Cette démarche est de bonne guerre, puisque face aux défis que lui posent au quotidien les insurgés de Boko Haram, personne ne peut lui dénier le droit de lever des fonds pour les relever.