La torture est devenue monnaie courante au sein de la police nigériane. Selon Amnesty International, des “agents chargés de torture" sont même officieusement affectés à cette tâche dans de nombreux commissariats. Le rapport intitulé "Welcome to Hell Fire" [Bienvenue sur les brasiers de l’Enfer] comprend une centaine de témoignages dénonçant des abus de toutes sortes. Il présente un large éventail de méthodes de torture utilisées par les forces armées et la police. En effet, passages à tabac, ...lire la suite
La torture est devenue monnaie courante au sein de la police nigériane. Selon Amnesty International, des “agents chargés de torture" sont même officieusement affectés à cette tâche dans de nombreux commissariats. Le rapport intitulé "Welcome to Hell Fire" [Bienvenue sur les brasiers de l’Enfer] comprend une centaine de témoignages dénonçant des abus de toutes sortes. Il présente un large éventail de méthodes de torture utilisées par les forces armées et la police. En effet, passages à tabac, extractions d’ongles et de dents, et autres violences sexuelles semblent être la norme. Un ancien soldat qui a servi à Damaturu a confirmé que la torture était couramment utilisée au camp.